Le Parti Breton appelle à manifester à Nantes le 19 avril pour une Bretagne enfin réunifiée
Communiqué de presse publié le 7/04/14 18:57 dans Politique par Sébastien Girard pour Sébastien Girard
Le Parti Breton a toujours affirmé depuis sa constitution que la réunification de la Bretagne est un droit fondamental au nom des textes internationaux affirmant le respect des frontières historiques des peuples constitués. La dégradation de la situation économique et sociale en Bretagne, qui s'est encore accentuée depuis quelques mois, rend urgentes des mesures permettant à une Bretagne réunifiée d'agir pour redresser la situation. Le mouvement des Bonnets rouges a montré l'état d'exaspération où en sont arrivés les Bretons et leur volonté de véritables changements avec une relocalisation des centres de décision dans une Bretagne réunifiée.
Le « système France » centralisé et corporatiste est à bout de souffle, seule une minorité jacobine dogmatique pense encore qu'il est possible de continuer sans rien changer. Les premiers projets en matière de décentralisation du gouvernement Ayrault étaient de ce point de vue affligeants de conservatisme. Le Parti Breton attend un geste fort avec de véritables compétences pour une Bretagne réunifiée.
En France, on n'écoute le peuple qu'à partir du moment où il bouscule le pouvoir.
La réunification est une revendication majeure pour la Bretagne, il faut une mobilisation de tous les acteurs de la société pour voir aboutir cette revendication. Le Parti Breton appelle à manifester en masse à Nantes. Bretonnes et Bretons, si vous voulez que la Loire-Atlantique réintègre la Bretagne et montrer votre attachement à une Bretagne réunifiée, rendez-vous Place de Bretagne 15 heures à Nantes le 19 avril.
Le Bureau politique du Parti Breton/Strollad Breizh
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Vos commentaires :
Yannick elin
Vendredi 15 novembre 2024
Je soutien et me bat tous les jours pour explique tous cela ,mais je ne peu être le le 19 désolé
M.Prigent
Vendredi 15 novembre 2024
Ha, ça, pour être dans la Mouise,
«Le système France» est dans la M....
Et les citoyens vont s'en apercevoir très vite.
Il suffit d'écouter le collègue au jeune économiste Nicolas Doze sur BFM TV pour voir que comme concluait la présentatrice
«En fait, on fait tout à l'envers», en matière de réformes.
Je résume le propos:
«En France les prélèvements tout confondus (Etat, Sécu, collectivités) consomment 1 160 Md¤ (dont la moitié consacrée au chapitre social) soit presque 58% du PIB.
Le plan d'économie de 50Md¤ prévu sur 3 ans se fait à 17 Md sur l'Etat, 23 Md sur le social, 10 Md sur les collectivités, soit plus de 2% du PIB, bien loin des 7 à 20% d'économies réalisées par le Canada, la Suède, l'Italie, l'Australie, la Nouvelle-Zélande.
Le problème la mise en ½uvre de ces économies, c'est qu'elle s'est faite en comité restreint dans le bureau de Mr Cazeneuve contrairement à ces pays qui ont pratiqué la plus totale transparence en associant partenaires sociaux et même l'opposition sommés de faire le tri dans les dépenses inutiles (Au Canada, par ex. ils ont ramené le nombre de ministres de 32 à 23).
Suite à des économies jusqu'à 20% (!) du PIB, ces pays ont pu réduire les impots et relancer la croissance, et de plus leurs auteurs ont été réélus.
En France, on grappille quelques millions par-ci, par-là sans réel plan d'action.
Seul petit point positif dans ces »réformes
«: la réduction de dotations d'état aux collectivités qui refuseraient de s'associer avec d'autres (c'est la »réforme Lebranchu").
Fin du propos BFM.
Question: Sur quel critère, ces réductions seraient effectives ?
La Bretagne B4 serait-elle pénalisée si elle refusait d'être intégrée au Grand Ouest ?
Ou alors, révons un peu, les PdL seraient-ils pénalisés pour s'opposer à la réunification légitime et confirmée par les v½ux de la population, de B5.
Il est à craindre que l'Etat central, une fois de plus impose sa vision des territoires en violation de tout processus démocratique.
Il faut être nombreux le 19 avril, Bonnets Rouges compris pour rappeler au pouvoir parisien l'urgence de la réunification.
eugène le tollec
Vendredi 15 novembre 2024
Le grand problème est que l'état central et ses gouvernances successives ne bougera pas d'un yota en terme d'économie...la structure d'État est inviolable...les économies sont à faire dans les provinces(collectivités- communes-départements-régions).
M.PRIVENT souligne un non fonctionnement...pour des grandes options l'état devrait décider que la recherche de solutions devrait être l'oeuvre de tous et effectue dans un véritable«Grenelle».
Où il faudrait revoir tout le social«à tout crin»...( nous ne pouvons pas continuer à nourrir la misère du monde et d'Europe ).
Il nous faut arrêter de toujours parler des couches les plus exposées,des bas salaires et regarder ce qu'apporte les classes moyennes à l'effort général...l'économie française tient sur les classes moyennes.
Ce Grenelle devra donner toutes directives pour reprendre tout le secteur du travail ( CDU, de l'apprentissage ..à la retraite tel un livret militaire ..ce serait un livret civil à multiples annexes.
Revoir aussi l'ensemble du code du travail.
Revoir aussi toute la politique sociale du troisième âge(la France vieillit).
Et surtout, revoir toute la politique d'immigration.
Je propose de lancer des cahiers de Doleances sur ces thèmes.
Un dernier aspect de ces travaux
Réflexions sur le changement de république.( 6ième et fédérale)