Un portique tombe et c'est la Bretagne qui se relève
Communiqué de presse publié le 27/10/13 1:59 dans Economie par Caroline Ollivro pour Caroline Ollivro
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Mais des hommes sont tombés à Pont-de-Buis et l'État français s'enferme et s'isole dans son projet absurde d'écotaxe. Ce qui s'est passé aujourd'hui est dramatique et insupportable comme l'est la situation économique actuelle de la Bretagne.
L'État doit admettre le bien fondé de nos revendications car cette écotaxe, comme bien d'autres impôts et décisions arbitraires, ne tient pas compte des spécificités bretonnes.
Cette impossibilité de se comprendre entre Paris et les régions démontre une fois encore la faillite du système centralisé français.
Le 26 octobre 2013
Caroline Ollivro
Présidente du mouvement Breizh Europa
■Vos commentaires :
Victor Back
Dimanche 22 décembre 2024
Pourquoi attendre octobre 2013 pour manifester alors que cela a été voté en 2009 ?
Ewen corriou
Dimanche 22 décembre 2024
Le 4 février 2009, nous manifestions déjà a La Gravelle avec le même mot d'ordre. Merci de vous tenir au courant.
Emilie Le Berre
Dimanche 22 décembre 2024
Passez le mot ecotaxe dans le moteur de recherche de ABP, vous verrez que des 2008 certains s'alarmaient deja de cette taxe
SPERED DIEUB
Dimanche 22 décembre 2024
Oui mais lors de la réunion de chefs d'entreprise bretons avec Sarkozy le problème de l'écotaxe ne fut pas abordé ....énigmatique tout de même !!!
Emilie Le Berre
Dimanche 22 décembre 2024
Je vois où tu veux en venir. Comme moi tu te méfies de manipulation ? Je redoute que cette ecotaxe ne soit qu'un feu de paille comme trop souvent. Si l'ecotaxe est supprimée en Bzh et qu'après tout le monde rentre sagement dans sa chaumiere, pour moi il y aura eu manipulation. Car seule une catégorie influente en Bzh aura obtenue satisfaction.
eugène le tollec
Dimanche 22 décembre 2024
Mais,Madame,nous sommes sous la coupe de la centralisation depuis combien de temps,nous ne sommes plus que des dominés dans un asservissement moderne!
Voilà la triste vérité bretonne.
Voilà la triste vérité bretonne.