A droite comme à gauche, les partis politiques qui monopolisent la scène médiatique ne sont pas avares de mensonges grotesques. D'aucuns seront surpris puisque le PS comme l'UMP nous ont habitués aux dérives maffieuses dignes des plus grands parrains de la mafia sicilienne.
Ainsi, nous apprenons aujourd'hui que le chômage aurait baissé ! Et même en Bretagne !
Alors qu'il n'y a jamais eu autant de suppressions d'emplois (Doux, Gad…), le PS a réussi un magnifique coup de prestidigitation.
Réellement, nous avons :
- 77 500 chômeurs qui, par une anomalie indéterminée, n'ont pas pointé au Pôle emploi au mois d'août (à ajouter à la baisse de 50 000) ;
- Des emplois aidés et des formations par dizaines de milliers ;
- Une multiplication de l'emploi saisonnier précaire en période estivale ;
- Plus d'inscrits à Pôle emploi que l'an dernier.
Et concernant la Bretagne, on note un exode toujours aussi massif des actifs, notamment vers l'Île-de-France.
Ce constat ne fera qu'empirer tant que « nos élus » contribuent à faire de la Bretagne une périphérie européenne au profit de la France centraliste (engraissée le projet de « grand Paris »). Ces derniers restent ainsi fidèles à la doctrine de leurs partis politiques (UMP, PS, FN, EELV, PG, et partis alliés ou dissidents…). Selon la même logique, ils sacrifient la Bretagne au tourisme, en la vendant aux plus offrants et en anéantissant sa diversité économique.
Ainsi, dans la perspective locale des élections municipales de Vannes, Gwened/Vannes 2014 appelle à ne pas céder aux sirènes médiatiques de ces partis, y compris la liste « PS bis » constituée d'une poignée d'individus trompés par leurs centrales parisiennes et toujours en manque de notoriété. Ces formations responsables de nos maux « saupoudrent du vide » et n'ont à ce jour aucune perspective pour installer une société apaisée, sereine et prospère.
Nous invitons tout un chacun à prendre connaissance de nos communiqués réguliers. Nos propositions globales seront sous peu disponibles sur Internet.
Pour Gwened / Vannes 2014,
Bertrand Deléon.
■