Orléans: des parents bretons s'élèvent à nouveau au dessus de la mélée

Communiqué de presse publié le 11/05/13 9:07 dans Politique par Pascal Dazin pour alphabet du respect des enfants
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Deux militants de l'Alphabet du Respect des Enfants, une femme et un homme, se sont joints aux pères manifestant leur ras-le-bol en haut de la cathédrale d'Orléans.

Nous soutenons entièrement tous ces parents qui, un peu partout, s'élèvent au-dessus de la mêlée judiciaire anticonstitutionnelle et prennent pignon sur grue.

Nous appelons à ce type d'actions symbolique un peu partout en France, qu'on soit père ou mère, qu'on appartienne à une association ou pas. Ne faites plus grève de la faim, ne vous suicidez pas, battons-nous avec des armes innovantes, non violentes. Manifestons nous pour faire respecter la morale familiale de base au profit de l'avenir, nos propres enfants, qui ont avant tout besoin de leur père et de leur mère et non pas d'avocats intrusifs, de services socio judiciaires abusifs, de psychiatres agréés violant leur déontologie sans risque.

La normalisation judiciaire, cela suffit ! L'appareil judiciaire organise non pas un paradis fiscal mais un enfer judiciaire en capturant illégalement les parents transformés en justiciables exploitables et jetables à merci.

Avec un autoritarisme inédit depuis la sortie du nazisme, il tire chaque fois que c'est nécessaire les pères vers le bas et les mères vers le haut, discrimine les parents en violation totale de l'article 14 de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales , et viole les besoins fondamentaux des enfants en méprisant les articles 2, 9 , 16, 18 et 29 de la Convention Internationale des Droits des Enfants.

Depuis 40 ans, le lobby judiciaire s'est donné toutes facilités pour stériliser les combats de ces pères de famille, par intimidation, par coups bas impunis, par noyades perverses dans des procédures et des procès durs. Il n'opprime les parents que dans un seul but : les exploiter dans leurs cabinets libéraux surprotégés, sans avoir jamais à rendre de compte au sujet des dégâts sociaux que leur exploitation aussi méthodique qu'exorbitante du droit entraine. Nous avons affaire aux professions les plus irresponsables, qui colonisent le secteur ayant le plus besoin de responsabilité humaine : celui de l'enfance.

Le message de l'ARE est très clair : exigeons que la CIDE soit enfin respectée. Un juge de la famille est légalement incompétent pour se saisir d'une affaire familiale. L'état doit organiser une aide préalable aux parents, les protéger des cabinets d'avocats qui sont que des professionnels mercantiles du conflit et depuis plus de 40 ans, surfent avec un cynisme mercantile inouï sur la vague féministe, La France doit laisser les parents définir souverainement l'organisation de vie familiale en cas de séparation, ou les aider par de nouveaux outils sociaux soigneusement déjudiciarisés à trouver leur organisation optimale, sachant que le partage des responsabilités en fonction de chaque situation parentale est le seul but logique et légal à obtenir. Et ce n'est qu'en cas d'échec que le milieu judiciaire sera compétent pour s'investir, encourageant dès lors le parent qui valorise le dialogue. Cette organisation sociale de la vie déplait évidemment aux lobbies des robes noires, mais évitera tous ces suicides, ces déchéances sociales, ces paupérisations, ces désespérances parentales et cette délinquance d'enfants privés méthodiquement de pères et de repères dès leur plus tendre enfance.


Vos commentaires :
Jeudi 9 mai 2024
Oui, Jean-Marie Kaninda. Nous sommes à l'heure de la norme post-familiale. La plupart des captures judiciaires étant des mères de jeunes enfants dont on ne cesse de flatter les «droits», le phénomène majoritaire est la dépaternalisation judiciairement correcte. Mais il faut rappeler que dans 20% des cas, des pères d'adolescents vont faire commerce &avec les avocats et dans ce cas, la jurisprudence impose de déresponsabiliser les mères par tous moyens aussi immoraux, mais cependant un peu moins préjudiciables aux jeunes concernés, qui ont quand même bénéficié d'une éducation biparentale jusqu'à dislocation judiciairement correcte du couple parental. Reste les cas de «garde alternée» , qui sont également surexploitées par les «men in black en robe», puisque cette «garde alternée» est ordonnée dans des cas où l'un des deux parents, souvent le, père, va constater qu'elle est nuisible aux enfants. La «garde alternée» telle qu'elle est exploitée également, est donc une amorce d'affaires ultérieures très juteuses. Nous sommes dans l'exploitation judiciaire des filons humains, puisqu'il n'y a plus de mines à exploiter...
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