Mois de la poésie : le verger enchanté de Mai Ewen lu par Bernez Tangi

Communiqué de presse publié le 18/03/13 15:52 dans Cultures par Fanny Chauffin pour Fanny Chauffin

Il est des poètes qui continuent leur route, sans faire de bruit, qui disent leurs textes en français et en breton, et qui restent dans les mémoires. Bernez est l'un d'eux. Et il n'hésite pas à lire les poèmes des autres poètes bretonnants, comme ici celui de Mai-Ewen, «ar verjez achantet» , compagne en poésie, et pour le jury de haiku de Taol Kurun.

Qui est Bernez Tangi ? Pour Yann-Ber Piriou, «Tangi, un nom splendide pour un poète. Depuis Malmanche, il n'eet plus permis d'en douter. Mais un nom comme celui-la vous marque l'âme au fer rouge. Nom de fureur, nom de ferveur aussi.

Bras dessus bras dessous, ses rimes, ses vers, ses strophes s'articulent ou se désarticulent et dansent sans s'essouffler sur la houle des pages.

Il faut accompagner Bernez Tangi de poème en poème, de métamorphose en métamorphose, dans ses étranges farandoles ou l'oiseau de feu salue la reine des foins».

Né en 1949, peintre, chanteur, compositeur, il est publié dans le monde entier, avec certains des ses poèmes traduits en anglais, lituanien, galicien, flamand, polonais, tchouvache, italien, allemand ou serbo-croate.

Ses ouvrages :

«Fulennoù an tantad», 1987

«Rod an aveloioù», 1999

«Chien de feu», 2005

«Ar saouzanenn», 2010


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