Pascal Dazin, président fondateur de l'ABCDEF, l'Association Bretonne pour la Convention des Droits des Enfants en France («Alphabet du Respect des Enfants»)
Lettre ouverte du 26/2/13 au président de SOS PAPA
Monsieur le Président,
Dès 1990, confronté à un ignoble traitement judiciaire de ma situation de famille, traitement que j'ai rapidement découvert aussi banalisé qu'effroyable, j'ai créé SOS PAPA BRETAGNE sans trop savoir quelle était l'identité de cette association dont la présentation m'avait séduit, et surtout sans imaginer ce qu'elle allait devenir. Très rapidement, la moitié (environ 400) des adhérents de cette association nationale se comptèrent dans ma région, en Bretagne, les articles de presse se succédaient, des tracts furent distribués, et une manifestation de rue fut notamment médiatisée.
J'avais une ligne conductrice, radicale, celle d'un médecin du travail militant, spécialiste de la protection sociale, de l'épidémiologie et de l'observation neutre des phénomènes sociétaux toxiques, totalement indépendant des lobbies et des discours faciles, manichéens et séducteurs.
Durant deux ans environ, j'ai très efficacement fait prospérer la jeune association SOS PAPA, afin de protéger nos enfants des captures judiciaires de leurs parents. Je voulais encore croire à cette France dont le génie social issu du CNR était à mes yeux unique, et dont la Constitution ne pouvait continuer d'être quotidiennement violée dans les chambres spéciales familiales, où prospèrent les professionnels d'une institution judiciaire qui n'est en l'état actuel de son dysfonctionnement abusif et intrusif qu'un appareil à affaires para mafieux sous prétexte d'enfants.
C'est pour travailler à la construction d'une véritable politique sociale de prévention des séparations parentales et à défaut de prévention des conflits parentaux que je m'étais engagé au sein de SOS PAPA. Cette « mission de santé familiale publique » engageait forcément une déjudiciarisation soigneuse de cette problématique illégalement capturée par le lobby des professionnels du conflit, lobby qui en a fait banalement ses choux gras depuis 40 ans, et qui prospère si souvent à ce jour avant tout en violentant les parents au mépris de l'éducation civilisée des enfants, au mépris du principe de précaution et au mépris de l'exemplarité positive.
Dénonçant sans aucune ambiguïté le fléau de la judiciarisation illégale et immorale des séparations parentales, je me suis attiré rapidement l'hostilité haineuse non seulement du lobby judiciaire locorégional qui ne supporte pas que quelqu'un d'aussi crédible et compétent que moi lui administre quotidiennement des soufflets pourtant bien mérités, mais aussi du président fondateur parisien de votre association, en conflit permanent avec le délégué régional sur actif et radicalement social que j'étais.
C'est notamment à cette époque que parmi les 400 adhérents que j'ai attirés et acceptés, figurait l'un d'entre eux, qui est à nouveau dans vos rangs : Bruno Lagadec. J'ai contribué à le soutenir, y compris en me rendant au tribunal où sa vie de famille était massacrée, puis plus tard en organisant une manifestation inter-associative devant la prison où il était incarcéré pour hauts faits de résistance contre l'oppresseur judiciaire mutilant unilatéralement ses prérogatives parentales.
C'est Bruno Lagadec, et lui seul à ma connaissance, qui hurla dans l'oreille gauche de Michel Thizon qu'il était scandaleux que SOS PAPA me laisse tomber quand, en octobre 1992, je fus expulsé aussi sournoisement qu'illégalement de mon métier de médecin du travail par une coterie d'avocats locaux (à Saint-Brieuc et à Dinan, avant tout) qui me vouaient une haine féroce et s'ingénièrent à me détruire en tant que père et responsable associatif, dans des procès pipés, et même en tant que médecin du travail, grâce à l'infiltration de deux auxiliaires de justice au sein du conseil d'administration du service de médecine du travail où j'½uvrais, dont l'un fut incarcéré à cette époque pour d'autres escroqueries.
Ce ne fut pas seulement parce que SOS PAPA préférait se débarrasser d'un militant trop performant, désintéressé et intègre plutôt que de le défendre comme je défendais moi-même et en personne chaque adhérent, que j'ai quitté votre association.
C'est surtout parce qu'affichant défendre la CIDE, SOS PAPA ne fait objectivement que défendre les très nombreux avocats qui conseillent « gratuitement » mais seulement la première fois les nombreux pères en désarroi qui font appel à vous. SOS PAPA est un cheval de Troie d'avocats se plaidant indignés mais qui jamais ne dénoncent le scandale de leur emprise anti déontologique et illégale sur les parents, que ce soit des mères ou des pères.
C'est parce qu'en insinuant qu'il y aurait un « droit des pères » à promouvoir face aux « droits des mères » judicieusement privilégiées par les chasseurs de familles que sont les très nombreux avocats divorcistes, à seule fin de séduire la clientèle, SOS PAPA participe au commerce légalisé des enfants dont la vie de famille et même l'historique familial réel sont dénaturés, parce que SOS PAPA collabore avec l'idée que les hommes et les femmes ont des droits différents qu'il appartiendrait à un juge d'organiser, alors que tout juge aux affaires familiales est incompétent d'emblée au regard des articles 2, 9, 16, 18 et 29 de la CIDE.
C'est donc parce qu'en n'informant pas au préalable chaque adhérent qu'il est capturé illégalement par une machine infernale qui n'a rien de juste, rien de républicain, rien de civilisé, qu'il est transformé comme des millions d'autres en justiciable sous prétexte de l'intérêt supérieur de ses enfants, SOS PAPA le persuade objectivement de se laisser faire et d'attendre des années avant qu'un « bon » avocat l'aide à redresser la barre, tordue d'emblée par l'appareil judiciaire violeur des principes de la CIDE et de la CESDHLF (article 14).
Quand j'ai participé très activement à l'abolition de l'infâme article 374 du Code Civil (cf. tract diffusé peu avant mon expulsion), personne de SOS PAPA ne m'a contacté.
Quand j'ai été illégalement jeté hors de mon métier après avoir perdu ma famille, personne de chez vous –à une exception près, Bruno Lagadec, qui était à l'époque dans les rangs bretons de mes « fidèles »- ne m'a encouragé, ou aidé d'une quelconque façon. J'étais pourtant au bord du suicide après tant de coups bas, sans un sou, sans famille, sans métier, me raccrochant exclusivement à mon rôle de militant social pour me trouver encore digne de rester sur terre, et créant pour se faire « l'Alphabet du Respect des Enfants ».
Quand j'ai rencontré le président, ce fut pour constater qu'il tenait des propos méprisants au sujet « des femmes », ce qui ne pouvait être recevable pour le médecin et l'homme que je suis.
Les associations « masculinistes » et « féministes » pleuvent en France. Elles ne sont que des marionnettes dont les ficelles sont tirées par un même lobby borderline, celui des avocats, qui se moquent bien des femmes et des hommes, et ne font que mettre de l'huile sur le feu des passions pour en retirer un indigne et même monstrueux usufruit.
Vous savez très bien que depuis votre création, mais plus anciennement depuis la création d'autres associations comme « Condition Masculine », les responsabilités parentales n'ont fait qu'être mutilées par l'appareil judiciaire de façon de plus en plus raffinée. Cet appareil, spécialiste des paupérisations des autres, va jusqu'à jeter les parents dans le ruisseau après les avoir exploités, et sans aucun devoir de suivi, sans jamais rien risquer pour lui-même malgré tous ces suicides, ces meurtres, ces exclusions parentales et sociales, ces plongées dans les gouffres des troubles psychopathologiques judiciairement induits en toute irresponsabilité.
Vous savez très bien que des dizaines de milliers d'enfants artificiellement « monoparentalisés » sont menacés de sombrer dans la dépression ou a contrario dans les actes de délinquance et même de meurtres en série par manque d'éducation biparentale minimale. Vous n'accusez pourtant pas le lobby qui viole la Constitution et les lois de l'intérieur pour garder l'eau sale du bain, en jetant les bébés. Bien au contraire, vous mettez vos adhérents en contact avec tous les avocats qui viennent frapper à votre porte.
Je ne connais, à côté de l'Alphabet du Respect des Enfants, que bien peu de groupes ou associations qui ne valorisent pas un sexe parental, qui résiste aux sirènes du tout-judiciaire d'emblée. Vous les connaissez aussi, car nous nous connaissons tous, mais vous les évitez presque aussi soigneusement que vous m'évitez moi-même, me faisant passer, sous les conseils de vos avocats, pour un extrémiste ou je ne sais quel fanatique, exactement comme tant d' avocats dénigrent les parents dans leurs plaidoiries routinières, exactement comme le lobby des avocats en général le fait à mon propos, en osant plaider « que je dois être sévèrement condamné puisque je sème le chaos dans toute la région », que « je suis marqué au fer rouge par la justice pour toute ma vie », que « de mon vivant rien ne changera », que « je devrais être pris en charge en tant qu'handicapé mental majeur », ou encore « que je veux retirer le pain de la bouche des magistrats ».
Pas une seule fois vous ne m'avez contacté, alors que j'ai tenté de le faire par l'intermédiaire d'anciens adhérents de ma connaissance.
Même quand j'ai pu réunir des dizaines d'articles de presse sur le fléau de la « judiciarisation » illégale des séparations parentales, même quand le premier quotidien de France a fait état en pleine page de politique nationale de la sortie de mon livre « les séparations parentales : l'impasse judiciaire », pourtant basé sur une expérience associative militante unique en France, et rédigé par un médecin qui y décrivait notamment les causes et symptômes des souffrances psychologiques des pères, même quand je me suis présenté à deux reprises aux élections législatives pour proposer des lois en faveur de la protection sociale des enfants prétexte aux captures judiciaires de leurs parents, même aux lendemains des manifestations médiatisées, des articles dans la presse nationale et surtout de la quatrième de couverture entière du premier quotidien de France, etc, etc.
Tout ce que vos nombreux avocats vous conseillent d'étouffer, vous le faites. Tout ce qui peut faire prendre conscience des violences judiciaires intrusives, abusives et scandaleusement illégales en République française doit être discrédité.
Récemment, vous avez été très médiatiquement reçus place Vendôme, là même où une ancienne jaf m'avait déclaré qu' « avant sa nomination au c½ur du pouvoir exécutif, sa dernière décision avait entraîné un meurtre et un suicide mais qu'elle n'avait pas d'état d'âme et que de mon vivant rien ne changerait ».
Avez-vous refusé de participer à cette réunion sans que soient présentes toutes les associations représentant les enfants du divorce, très crédibles pourtant, dotées d'une expérience militante souvent plus ancienne et plus large que la vôtre ? C'est pourtant le préalable qui était indispensable, respectueux de toutes et tous, et qui servait notre cause plutôt que votre image publicitaire.
Non : vous ne l'avez pas fait. Dès lors vous avez collaboré à une mise en scène où aucune dont aucun des participants n'était dupe, mais où toutes et tous se faisaient les collaborateurs de la mainmise judiciaire illégale sur une problématique avant tout sociale. Vous n'avez évidemment pas dénoncé les cruelles violences institutionnelles, bien plus flagrantes que les violences physiques privées des hommes contre les femmes, qui sont d'ailleurs très souvent réactionnelles aux premières, cruelles violences institutionnelles entrainant un désordre social inédit et des conséquences délétères sur l'éducation des enfants et la montée en flèche des violences intersexuelles.
Quand donc les associations dites « de pères » défendront-elles enfin réellement, concrètement, l'application pratique de la CIDE par notre pays qui l'a ratifiée, en militant clairement pour une déjudiciarisation d'emblée et en conseillant enfin à ses adhérents la grève des avocats et de l'ajustice familiale légitimement suspecte?
Quand donc se débarrasseront-elles des avocats opportunistes « spécialistes des droits des pères » qui manipulent la société civile avant de se liguer avec les avocats opportunément ségrégationnistes « spécialistes des droits des femmes » et « spécialistes des droits des enfants » pour en tirer un colossal usufruit personnel ?
Veuillez agréer, Monsieur le Président, mes salutations distinguées.
■Je confirme qu’à l’époque, cette délégation régionale était la plus dynamique de France, non seulement en nombre d’adhérents, mais également dans le soutien actif et personnalisé des pères, tout comme vis-à-vis des médias régionaux, comme par exemple lors de la première manifestation publique de pères devant un palais de justice.
Je confirme qu’à l’époque, Michel Thizon, fondateur de SOS PAPA, était venu en Bretagne pour renforcer les réunions initiées par le Docteur Pascal Dazin. Parce que la délégation bretonne était la délégation la plus en pointe dans le combat pour l’égalité familiale. Certes, il est vrai que c’était juste avant l’entrisme des avocats pour récupérer une clientèle au sein de SOS PAPA ; ce qui avait indubitablement généré les premières divergences entre la Bretagne et le siège national de l’association.
Je confirme qu’à l’époque, le Docteur Pascal Dazin a bien été licencié de son travail pour des raisons politiques, puisque ses activités associatives et publiques en tant que Délégué Bretagne de SOS PAPA déplurent fortement à deux membres du Conseil d’Administration de la Médecine du Travail où il exerçait : d’une part un avocat et d’autre part un huissier de justice…qui fut par la suite incarcéré pour escroquerie !
Je confirme qu’à l’époque, face à ce qui m’était apparu comme un licenciement abusif et inacceptable, car contraire au Droit du Travail, j’avais rédigé un communiqué de presse en faveur du Docteur Pascal Dazin, que j’avais ensuite soumis au Président-fondateur de SOS PAPA, tout en demandant à celui-ci de venir en Bretagne pour présider une conférence de presse en soutien officiel à son délégué régional, lequel délégué avait été à la fois injustement discriminé par la justice familiale et injustement licencié par son employeur.
Je confirme qu’à l’époque, Michel THIZON n’a jamais donné suite à mes demandes de soutien et n’a jamais voulu faire le déplacement pour épauler le Docteur Pascal DAZIN, pourtant Délégué Bretagne de l’association dont il était au niveau national le président fondateur.
Je confirme qu’à l’époque, du fait que nous étions en Bretagne à l’avant-garde du combat pour la coparentalité et les droits de l’enfant en France, et ce sous l’impulsion du Docteur Pascal DAZIN, nous avions aussi quelques divergences stratégiques avec les orientations nationales de SOS PAPA sur plusieurs points.
Je confirme qu’à l’époque, si ces derniers éléments ont amené la majorité des adhérents bretons à se désolidariser de certaines orientations nationales, le facteur déclenchant fut bien l’attitude inhumaine de Michel THIZON à l’égard de la situation dramatique vécue par le Docteur Pascal DAZIN suite à son licenciement abusif ; étant précisé que derrière son dos, le président-fondateur de SOS PAPA m’avait proposé en douce de devenir, en lieu et place du Docteur Pascal DAZIN, le nouveau délégué régional de l’association, ce que j’ai refusé catégoriquement, par éthique associative et par solidarité fraternelle.
Je confirme donc qu’à l’époque, n’ayant pas été soutenu par Michel THIZON, président–fondateur de l’association, et ce pour des raisons inexpliquées, c’est bien le Docteur Pascal DAZIN qui a fait le choix de quitter SOS PAPA, emportant avec lui plus de la moitié des adhérents.
Je confirme qu’à l’époque, suite à ce départ, la délégation Bretagne de SOS PAPA s’est arrêtée nette et a été quasiment inactive durant près de dix ans, la majorité des adhérents s’étant réorientés au Nord-Bretagne avec la nouvelle association fondée par le Docteur Pascal DAZIN et au Sud-Bretagne avec l’association «l’Enfant et Son Droit-E2SD», fondée par Monsieur Bertrand GIRAUD, un ancien Vice-président national de SOS PAPA. Ayant toujours été en bons termes et en contact avec les deux, je peux dire que l’essentiel pour tout le monde à l’époque fut de maintenir une activité associative forte dans notre région.
De toute évidence, depuis quinze ans, cette activité associative et médiatique en Bretagne a été essentiellement soutenue dans notre région par l’association « l’Alphabet du Respect des Enfants », présidée par le Docteur Pascal DAZIN, qui a toujours maintenu avec constance et régularité un soutien concret aux parents et une ligne de défense des droits parentaux et des droits des enfants.
Je confirme qu’en Bretagne, si l’association SOS PAPA a pu retrouver quelques couleurs au milieu des années 2000, ce regain d’activité est à mettre au crédit de Monsieur Christian MARECHAL, qui fut en 2004/2005 un Délégué régional très actif et dévoué au service des pères en détresse et qui avait permis certaines actions médiatiques. Mais depuis, force est de constater que l’association SOS PAPA est retombée dans notre région dans une certaine léthargie et a été récemment supplantée par l’Association bretonne « I Comme Identité », elle-même fondée par un ancien adhérent de SOS PAPA, Monsieur Amadéo PIROMMALLI, qui lui aussi, a payé le prix fort pour avoir résisté avec bravoure au système judiciaire.
Ceci pour dire également que c’est quand même en Bretagne que se situe le plus grand potentiel associatif et la plus grande capacité de résistance des pères face à une justice familiale toujours sexiste et discriminatoire depuis la naissance de SOS PAPA en 1990.
En effet, c’est en Bretagne qu’une grande partie des avancées législatives issues de la loi du 4 mars 2002 sur la coparentalité et la résidence alternée ont été mises en avant et testées dans des dossiers individuels de pères, et ce à partir d’argumentaires juridiques réfléchis et structurés.
C’est essentiellement en Bretagne que depuis 20 ans des centaines de dossiers judiciaires de parents et de grands-parents ont mis en avant plusieurs articles précis de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
C’est d’ailleurs suite à un dossier traité devant la Cour d’appel de Rennes que la Cour de cassation a commencé à renverser, à partir de 2005, le fameux Arrêt Lejeune datant de 1993 qui avait prétendu (à tort) que la Convention Internationale des droits de l’Enfant n’avait pas à s’appliquer dans des dossiers individuels devant la justice familiale.
Dans ce cadre, en tant que président d’une association bretonne, le Docteur Pascal Dazin a parfaitement la légitimité d’interpeller le président national de SOS PAPA sur des points qui ont trait à la pertinence et à la cohérence du monde associatif face aux enjeux actuels, ainsi que sur des sujets qui nous tiennent tous à c½ur.
Et ceci d’autant plus que suite aux multiples actions des pères ces derniers mois (grues, cathédrales, toits, pylônes) contre cette justice familiale qui persécute encore et toujours les pères, il a été relevé dans un quotidien national qu’il n’y avait aucune unité dans ce mouvement éparpillé.
On peut être totalement ou partiellement d’accord avec la pensée du Docteur Pascal Dazin, voire même en désaccord, mais en aucun cas il ne m’apparaît utile à la cause que nous défendons - à savoir les droits supérieurs de l’enfant - de transformer ainsi la parole de cet humaniste engagé en une posture prétendument personnelle et pathologique.
Cher Fanch Buannic, l’expression même de « logorrhée clinique » utilisée par toi abusivement pour juger les écrits du Docteur Pascal Dazin – de surcroît sans rien proposer sur le fond - relève uniquement de l’insulte gratuite et non du débat d’idées.
Car bien sûr, il n’y a rien de tout cela dans les écrits du Docteur Pascal Dazin, mais uniquement une pensée libre d’un homme libre face à la sur-juridisation globale de notre société et face à la barbarie de plus en plus complexe et juridico-juridique au sein des affaires familiales.
J’attends donc de toi, cher Fanch Buannic, des réponses concrètes et une ligne stratégique claire pour dé-judiciariser ce qui doit l’être, et non une avalanche de propositions pseudo égalitaires qui, indubitablement, vont maintenir en l’état le système qui a amplement démontré sa faillite sociétale et républicaine.
Car le point de départ de cette lettre ouverte d’un président d’une association bretonne au président de l’association SOS PAPA, c’était quand même bien d’établir une passerelle pour trouver des réponses afin de sortir de l’impasse judiciaire actuelle.
En attendant tes réponses, je t’invite à relire et à méditer le livre du Docteur Pascal Dazin : « les séparations parentales : l'impasse judiciaire »...
Cordialement
J’ai eu avec vous, dans le passé, alors que j’étais dans une profonde détresse suite aux exactions d’une marée de robes noires LEGAZIs dont vous semblez faire partie, une conversation téléphonique dans laquelle je n’ai reçu de votre part que mépris et dérision. Je garderai le souvenir de votre haine spontanée, stupide et injustifiée.
DE QUEL DROIT vous permettez-vous d’interpeler le Dr Dazin de cette manière ?
Pour qui vous prenez-vous ?
La haine spontanée, le mensonge, la manipulation et le mépris sont très visiblement votre moteur principal dans une bien triste existence !
Je vous plains et je me félicite d’avoir eu la chance de rencontrer le Dr Pascal Dazin dont la vie, l’½uvre et l’humanisme devraient lui valoir un prix Nobel de la Paix.
S’il vous plaît épargnez aux lecteurs bretons qui viennent sur ce site vos crachats de haine….
Ils ne sont pas dupes et ont d’autres préoccupations plus sérieuses que de rentrer dans votre jeux de gamin vicieux, malade et déjanté.
Alain Guillou
Pour avoir lu en 2007 in toto l'excellente contribution («LES SEPARATIONS PARENTALES : L'IMPASSE JUDICIAIRE») de mon confrère le Dr Pascal DAZIN alors que je sortais de prison, recouvrant ma pleine liberté indument entravée et ma dignité jamais atteinte, après avoir été incarcéré sans motif ni texte réglementaire légal ou constitutionnel pouvant justifier la prétendue «détention préventive» dont j'avais été l'objet à la maison d'arrêt et prison bruxelloise de FOREST du 06 mars 2007 au 24 octobre 2007 pour prétendu «enlèvement de mineur de 12 ans en qualité de père» dans le cadre d'un divorce frauduleux instrumenté par des forces sociales rétrogrades grâce à la confrérie s'habillant de NOIR comme les corvidés, j'avoue n'avoir pas du tout saisi ni le sens ni la pertinence du «caca nerveux» que vous avez commis ou expulsé de vos entrailles le 08 septembre 2013... alors que vous n'étiez nullement concerné par la lettre ouverte du Dr DAZIN à Monsieur THIZON... à moins que... «Qui se sent morveux, qui se mouche» !
Mais bon, passons ou plutôt revenons au fond de la question soulevée par mon confrère le Dr Pascal DAZIN : la complicité objective et la participation active de la structure SOS PAPA à la «chasse à courre» du LOBBY NOIR contre les familles par instrumentation des séparations conjugales ou des divorces par judiciarisation FAUSSEE «ab initio» par l'imposture difficilement détectable par le/la néophyte... consistant à mener une procédure civile (divorce ou séparation) non seulement avec l'esprit du procès pénal mais surtout avec les règles de procédure du procès pénal !!!
D'où les «dérapages» vers la case «prison» ou la case «psychiatrisation» ou sinon, faute de passer par ces 2 modes de «normalisation» par la marginalisation, l'exclusion/bannissement/excommunication d'antan«... la 3ème voie qu'est l'asphyxie financière (mort civile) en faisant perdre son emploi par »licenciement pseudo-disciplinaire«... aux parents résistants au non-sens et à la dictature des ordonnances de »capture familiale« des magistrats divorcistes, aux parents responsables résistants aux man½uvres contre-productives du LOBBY NOIR »plaideur«(contre-productives pour NOS enfants cela va de soi).
Sur cette thématique centrale et ses pétales recoupant les V.I.F. (violences intra-familiales) impromprement, et à dessein, réduites aux seules prétendues »violences conjugales", vous n'avez pas esquissé l'ombre d'une seule réflexion... soucieux que vous étiez d'éructer ou de vomir votre venin sur le dos (très large ?) du Dr Pascal DAZIN.
Formidable, fooormidable, vous avez été fort mi.. ble Monsieur Fanch Buanic.
Dr JM KANINDA, père responsable et militant résistant au LOBBY portant des robes couleur CAFARD (survivance des privilèges de l'Ancien Régime).
Sous la robe et le serment : la pègre.
Voilà un texte qui bien que long et incomplet, me semble t-il ;
Il informera chacun d'entre nous sur des vérités qui restent bien locales à rebondissement Nationale, pour une part nous les avons vécues dans nos chaires dés le début des années quatre vingt dix, avec un historique personnel qui à teinté ma vie dés l'année fatidique 1970... voir si je remonte un peu, Familial depuis 1936, «La Guerre Civil». . .
Ma contribution :
Lorsque l'humanité traverse des tragédies comme celles là, souvent nos concitoyens souffrent de déchirements et il est insupportable de pouvoir à la fois vivre et voir vivre les souffrances que chacun d'entre nous traversons.
Des clivages se forment, produisant des déstabilisations encore plus grandes.
Où se trouve la bonne note sur ce clavier parsemé d'altérations personnelles, qui s’interprètent entre le Noir et le Blanc, selon notre doigté pédagogique et notre sensibilité mélodique.
A chaqu'UN d'entre nous ;
De s'harmoniser avec le même diapason pour que la partition soit plus accueillante ;
Que le chef d'Orchestre puisse prendre en compte la tessiture de chacun des interprètes.
que l'ensemble de nos sons soient complémentaires, forment une palette Harmonique et familiale permettant de redonner courage à ces trente mille voix inanimées devenant insonores chaque année.
que tous nos homologues poursuivent jusqu'à la «Coda» musicale finale afin que le bouquet terminal soit une invitation de l'hymne à la vie.
Celui qui nous fera devenir Humain.