Lettre ouverte à un sous-préfet collaborateur des violences judiciaires banalisées
Docteur Pascal Dazin, Président de l'Alphabet du Respect des Enfants, co-fondateur de "REPARE", "Résistance des Parents Responsables"
Au sous-préfet LAPOUZE
Lettre ouverte du 16/2/13
Monsieur Patrick Lapouze, sous-préfet de Loire-Atlantique,
Vous avez délivré hier une communication judiciairement correcte sous une grue où un désespéré de l'appareil judiciaire a bien fait de grimper. Vous étiez en service commandé, après avoir comploté avec les gens de justice coupables de telles preuves de désamour avec notre société civilisée.
Votre message ne me convient absolument pas, car je suis républicain, médecin et responsable associatif dénonçant les violences judiciaires illégales commises dans notre pays au mépris de la Constitution et des Conventions ratifiées. Vous troublez l'ordre public républicain.
On a d'abord voulu décrire ce père torturé sur ordonnances comme un forcené. Ce sont pourtant ceux qui l'ont précipité dans la tourmente familiale qui sont des forcenés. Ce sont les juges qui l'ont méprisé, s'arrogeant tout pouvoir sur sa vie. Ce sont les avocats qui ont capturé sa famille et l'ont exploitée avant de la jeter et de passer à une autre affaire de fric familial abjecte.
Cet homme est monté sur la grue. Bravo. Car c'est l'appareil judiciaire familial français qui est une grue, qui n'arrête pas de se vendre et de s'enrichir au détriment des parents colonisés, captifs.
Vous avez « échangé avec la justice », osez-vous prétendre ? Non. Vous avez communiqué sur ordre judiciaire que cet homme « se sent dans l'impasse ». Or il l'est bel et bien dans l'impasse judiciaire illégale, et c'est vous qui ne vous sentez plus pour oser parler de la sorte de gens qui tous les jours se donnent la mort en sortant d'un tribunal, dans le silence feutré des chambres à familles et dans le mépris des avocats, chaque jour plus assoiffés d'argent mal gagné, chaque jour amnésiques des crimes qu'ils laissent commettre sous prétexte de droits mais objectivement au nom de la loi violée.
De même qu'il y a une censure militaire en Israël, il y a une terrible censure judiciaire en France, avec laquelle vous collaborez, citoyen Lapouze, au mépris total de l'ordre public que vous êtes censé maintenir. Au lieu de vous inscrire dans un conflit d'éthique, ce qui vous aurait honoré, vous vous soumettez. Vous obéissez au procureur manipulateur et aux juges qui vous ordonnent de déclarer que cet homme va rapidement repasser en « justice » ! Quelle honte, à tous les niveaux, pour notre pays qui sombre dans les troubles identitaires familiaux ! Un seul homme, parce qu'il est ingénieux et intrépide, met toute une vieille grue, une machine dérégulée qui grince de partout en tremblement sénile, au point d'envoyer un sous-préfet communiquer devant la presse sur des ressentis d'impasse d'un forcené et sur des procédures miraculeusement accélérées.
La grue judiciaire en est là. Nous, parents responsables, ne voulons plus engraisser cette putain de la République qui a contaminé la société entière, affaiblissant les familles et projetant tant de pères dans le désespoir final, et tant d'enfants dans la délinquance. Nous sommes à présent capables de monter dans toutes les grues de France. Dites-le à vos supérieurs judiciaires, citoyen sous-préfet, au lieu de répéter scolairement ce qu'ils vous demandent de dire, comme si le ministère de l'intérieur n'était plus que l'aide grutier du ministère de l'Ajustice familiale.
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