L'association Blanc c'est exprimé milite depuis 1989 contre le cumul de mandats.
Or, « le patron des sénateurs socialistes, François Rebsamen, vient de dénoncer, le 24 janvier dernier, le « populisme » des partisans du non-cumul des mandats... » Source Acteurs publics : (voir le site)
Aussi est-il bon de rétablir immédiatement une vérité : dans l'article, il y a une coquille.
Le « sénateur sus nommé » s'appelle en fait François « Rabdesalaire »... ou d'indemnités comme l'on veut, et après d'aucun, qui avait le Désir « qu'on ne touche pas à son pote, » lui entend bien faire entendre qu'il ne veut en aucun cas que l'on touche à... ses privilèges. Voir (voir le site)
Possédant (de loup...) sans doute le don d'ubiquité qui permet, en même temps, à cet ancien administrateur territoriald'être le maire de Dijon, président de la Communauté d'agglomération du Grand Dijon, président de l'Association départementale des maires de la Côte-d'Or, sénateur de la Côte d'Or (cela ne s'invente pas! Pour lui c'est le magot...) et président du groupe socialiste (oui ! oui ! faut pas croire, il a un grand sens du partage...et de la solidarité) au Sénat.
Institution dont on sait, il est vrai, « qu'elle est la seule maison de retraite dont les pensionnaires sont payés pour y résider.»
Or donc, le maire de Dijon, président de la Communauté d'agglomération du Grand Dijon, président de l'Association départementale des maires de la Côte-d'Or, sénateur de la Côte d'Or et président du groupe socialiste a surtout une faculté qui lui permet d'occulter les réalités.
Ainsi, lorsqu'il déclare, dans le même temps, regretter « l'absence d'un vrai statut des élus locaux » il donne à penser qu'il est victime de la maladie d 'Alzheimer.
Entré en politique en 1984... il a oublié qu'il a été informé, comme tous ses collègues, d'une proposition faite, sans relâche dès 1989, concernant la création d'un véritable statut de l'élu.
Que n'a-t-il pas, pris il est vrai par ses trop nombreuses occupations, donné suite et proposé depuis longtemps cette réforme, clé de voûte de nombreuses autres?
Il a oublié également l'information qui lui a été transmise de la déclaration, en 2006, de son ancien collègue Claude Saunier, sénateur des Côtes d'Armor depuis 1989, à des journalistes qui lui posaient la question : « oui, sénateur, c'est un boulot à plein temps ! »
Comme celle de Pierre-Joël Bonté ancien président de la région Auvergne, décédé en janvier 2006 ( L'Express du 31/01/2005) : « La Présidence d'une Région, la direction d'une ville ou la responsabilité de Député sont, selon moi, des occupations à plein temps. On ne peut pas mener correctement de front deux mandats importants. Ou alors on triche: on ne va pas au fond des dossiers, on fait surtout de la représentation. »
Après Pierre « Maille » (qui ne « m'aille...pas ») président du Conseil général du Finistère qui par ses propos, en voulant porter atteinte aux langues régionales minoritaires a oublié que la langue française l'était dans toute la Francophonie... (d'où de facto une atteinte contre... la langue française) et les propos corporatistes du sénateur François Rebsamen, la moutarde de... Dijon a tendance à monter au nez !
Cette Belle Ville peut s'honorer d'avoir compté au nombre de ses concitoyens, le Chanoine KIR et sa boisson... à déguster toutefois, « Elle » aussi, comme le cumul... avec beaucoup de modération !
Il n'est pas certain que Dijon puisse s'enorgueillir aujourd'hui, de posséder un tel édile...sous-préfet « hors cadre » qui démontre, l'être également concernant la dignité et la décence.
Les Dames de petite vertu méritent plus d'égards et de respect que ceux qu'il porte à la République !
NOTA : Le fait que le sénateur appartienne au Parti socialiste n'exclue en rien tous les «cumulards» des autres partis qui peuvent se reconnaître en lui.
SIGNEZ LA PETITION:
■Certainement pas ! Car les écrêtement sont dans tous les cas redistribués à d'autres élus ! Donc financièrement, rien ne changerait ni en plus ni en moins ...
Le fond du problème est le clientélisme ... Il faut tout simplement abolir le cumul des indemnités, ainsi les cumulards ne se précipiteraient plus sur des mandats non rémunérateurs.
Lisez «cumulus politicus» sur www.grosseimposture.com
Si on veut interdire le cumul d'un mandat de sénateur et d'un mandat d'élu territorial, il faut revoir la Constitution et, en particulier les dispositions relatives à l'institution parlementaire. Cette question reste posée.
Notre Constitution approuvée à l'origine par référendum a été modifiée au moins 24 fois en permettant au Peuple théoriquement souverain de ne se prononcer qu'à deux reprises sur ces réécritures partielles de notre loi fondamentales (1962, 1990).
Telle est aujourd'hui la triste condition de citoyen dans ce qu'il reste de la République française. La Constitution a été réécrite sans lui, voire contre lui.
Plutôt que de critiquer telle ou telle question particulière de notre Loi fondamentale, comme on peut l'observer à propos de chaque question flattant la démagogie, le temps n'est-il pas venu de fonder à nouveau nos institutions républicaines sur la seule source légitime qui vaille : le Peuple souverain ?
En attendant, il est rassurant d'avoir au Sénat des élus qui savent ce qu'est la gestion d'une ville, d'un département ou d'une région. Cela permet souvent de faire prévaloir l'intérêt général. Une Démocratie qui n'est pas enracinée dans les territoires auprès des gens qui y vivent ne permet pas de prendre des décisions conformes aux attentes des citoyens. Evoquer le cumul de mandats en termes de rémunérations et de privilèges alors que la loi, pour les décideurs publics, a prévu un plafonnement des indemnités permet aussi d'éviter de regarder du côté des cumulards des conseils d'administration des sociétés. Là on n'entend pas grand chose pourtant contrairement à ce qui se passe pour les élus, il n'y a ni interdiction de cumuls sauf pour les SA ayant leur siège en France (Une personne physique ne peut exercer simultanément plus de cinq mandats d'administrateur de sociétés anonymes ayant leur siège sur le territoire français), ni déclaration de patrimoine, ni même plafonnement des rémunérations. En 2011, et cela n'a sans doute pas beaucoup évolué, un article relevait que «98 personnes détiennent 43 % des droits de vote des entreprises du CAC 40 et 39 des 40 entreprises du CAC 40 ont au moins un administrateur en commun les unes avec les autres» Voir le site
Trouvez l'erreur !
Cela suppose
- La définition et l’application d’une Méthodologie de management adaptée.
- Une conviction profonde et une mobilisation continue des acteurs.
- Une coopération en phase et coordonnée des intervenants.
- Une mise en oeuvre sur du long terme.
- Une analyse permanente des adéquations des PROCESSUS, en particulier dans la prise en compte des réalités et des aspirations.
Le succès des objectifs est à ce prix»
«2.1 PROCESSUS
Un MESSAGE politique est un « PRODUIT », à ce titre, il doit être traité comme tel par l’ensemble des processus intervenant dans le PROGRAMME POLITIQUE.
Un processus politique est l’ensemble des tâches concourant à la DIFFUSION d’un résultat « LE MESSAGE » destiné à convaincre l’ ELECTORAT afin de répondre à un BESOIN. Ce message est issu d’un Programme ou Projet Politique.
Le Besoin de l’électorat est un BESOIN REEL qui ne pourra être complètement satisfait que lorsque le Programme aura atteint et réalisé tous ses objectifs en particulier la diffusion et l’implantation du MESSAGE, c’est à dire l’équivalence entre le BESOIN PERCU et le BESOIN REEL obtenu par des structures adaptées.
Il est fondamental qu’à l’initialisation du PROCESSUS soit prise une hypothèse précise et juste du BESOIN REEL ( BR ) de l’électorat. La déclinaison en BESOIN EXPRIME (BE ) par l’électorat puis PERCU ( BP ) par les politiques conditionne l’ensemble stratégique au démarrage du processus.
Cette perception permet la juste élaboration du MESSAGE DEFINI et à DIFFUSER.
Ce processus parfaitement interfacé avec le MILIEU EXTERIEUR est mis en oeuvre par une structure adaptée disposant de moyens les « RESSOURCES».
Les ressources du Processus comprennent :
Des ressources humaines
Des Ressources matérielles
Des Ressources financières
Des outils
Matériels
Informatiques
Ces ressources sont sollicitées et mises en application par une METHODOLOGIE et une PROCEDURE
disposant de DONNEES d’entrée fournies par les analyses provenant :
Du milieu extérieur (économique, politique, social, culturel, la conjoncture.):
Des Partis et mouvements politiques dans l’expression de leurs doctrines
Des Doctrines adjacentes ou adverses.
De l’électorat dans toutes ses manifestations, en particulier le phénomène d’abstentionnisme
De l’historique politique.
2.2 QUALITE du PROJET et du MESSAGE
La qualité du processus est l’ensemble des propriétés et caractéristiques du PROJET POLITIQUE qui lui confère l’aptitude à satisfaire l’obtention de la qualité du MESSAGE DIFFUSE correspondant au BESOIN REEL de l’électorat.
La qualité du Message est l’ensemble des propriétés et caractéristiques du MESSAGE DEFINI qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire les BESOINS REELS exprimés par l’électorat.
Une faiblesse du MESSAGE correspond à un écart entre le MESSAGE DIFFUSE et le BESOIN REEL.
Cette inéquation peut provenir :
1 - D’une mauvaise appréciation du BESOIN REEL à l’initialisation du processus.
2 - De dysfonctionnement dans les tâches du processus complexe.
3 - D’un écart en cours de processus entre le :
BESOIN EXPRIME et le BESOIN PERCU.
BESOIN PERCU et le MESSAGE spécifié puis DEFINI.
MESSAGE DEFINI et le MESSAGE DIFFUSE.
MESSAGE DIFFUSE et le BESOIN REEL.
Cette chaîne d’écarts est le point majeur des incompréhensions entre l’ÉLECTORAT et le POLITIQUE.
La qualité du Message s’améliore par la réduction des écarts, ceci est obtenu par des efforts continus d’amélioration du management et du fonctionnement des processus.
Ce processus d’amélioration est la « SPIRALE DE QUALITE » du PROJET POLITIQUE.
Cette obligation d’amélioration continue du « PRODUIT » oblige à l’identification, la localisation et l’amélioration des relations entre les interfaces:
ELECTORAT / PROJET POLITIQUE
PROJET POLITIQUE / MILIEU EXTERIEUR
MESSAGE / BESOIN
Toutes les tâches doivent procéder d’une démarche PARTICIPATIVE et l’amélioration des processus est renforcée par la motivation des intervenants.
Dans cette démarche d’amélioration continue l’élément prioritaire à surveiller est le BESOIN REEL.
dans ses deux composantes
COMPOSANTE NATURELLE essentiellement issue des valeurs fondamentales
COMPOSANTE de FLUCTUATION issue des conjonctures sociales , politiques, économiques.»
Monsieur ,nous sommes dans ces écarts ,le peuple ne peut suivre.
Le message politique
2.3 PROGRAMME POLITIQUE
PROCESSUS COMPLEXE
Le PROJET POLITIQUE est un processus complexe par:
La multitude des tâches à identifier, à planifier, à manager.
L’architecture, l’amplitude et la profondeur du MESSAGE à satisfaire le besoin réel.
Le nombre élevé d’acteurs et des sensibilités intervenantes.
La maîtrise des objectifs de coûts du programme
La maîtrise des objectifs de délais dans l’élaboration, la diffusion du message et l’implantation structurelle.
La maîtrise des objectifs de « qualité » du MESSAGE.
2.4 TACHES de MANAGEMENT du PROJET POLITIQUE
La qualité et la bonne exécution d’un processus dépendent principalement de deux conditions
Chacun des intervenants au processus doit parfaitement maîtriser son sujet (professionnalisme des acteurs)
Le management doit être parfaitement préparé (cohérence des actions et des tâches sur un objectif commun).
Ce deuxième point est à lui seul l’objet des tâches du management d’un programme politique
SOIT:
Préparation et prise de décisions stratégiques (un OBJECTIF / un MESSAGE)
Préparation et prise de décisions opérationnelles d’organisations et de suivi
Des OUTILS / une MISE EN OEUVRE.
2.5 PREPARATION et PRISE de DECISIONS
STRATEGIQUES et OPERATIONNELLES d’ORGANISATION et de SUIVI.
DECISION STRATEGIQUE
Cette tâche porte sur la perception et le choix décisionnel :
Du BESOIN PERCU par rapport au BESOIN REEL de l’électorat
(Stratégie des priorités)
Du processus d’acquisition des données permettant le MESSAGE.
Des MOYENS et SOLUTIONS répondant à la satisfaction de ces BESOINS.
Des processus de conception et de diffusion du MESSAGE
Des acteurs intervenant dans les différentes tâches et phases du PROJET.
Des financements et des délais".
Ces éléments sont sortis d'un document de travail sur le management d'un programme politique.
salutations à vous
ELT