Après Badume's band et le CD avec Yann Fanch Kemener, Erik prépare maintenant une nouvelle création
Près de la monumentale église de Quelven, il fait froid. Dans le café cabaret «Aux anges» la petite troupe répète. Le poêle à bois réchauffe les six membres du groupe. Antonin Volson à la batterie regarde sur son ordinateur par quel air va commencer cette première répétition. La contrebasse (Jonathan Caserta) se lance, les claviers (Jeff ALuin) commencent une introduction très jazzy, Alan Letenneur essaie quelques notes à la trompette. Youenn Lange et Erik se redisent les paroles d'une gwerz des soeurs Goadec. Et la première répé du nouveau groupe d'Erik démarre.
«Eloge de la lenteur», éloge des chanteurs de tradition, qui plus que jamais, selon Erik, nous montrent le chemin. Le roi Stevan avait déjà prédit la fin du monde. Plus que jamais, dans ces périodes de troubles et d'incertitudes, le chant et la musique peuvent réconcilier les hommes...
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