L'Histoire de Bretagne de - 700.000 à nos jours. Conférence multimédia avec J.-J. Monnier, historien et O. Caillebot, journaliste radio, auteurs de « Histoire de Bretagne pour tous » avec 4 CD. Éditions Skol Vreizh, février 2012
À la mairie de Bains-sur-Oust, vendredi 11 mai 2012, à 20 h 30.
Participation : 3 €
Organisation Poellgor Gouel Ballon (collectif de 7 associations culturelles bretonnes),
Mairie/Ti-Ker 35600 Bains-sur-Oust
06 87 23 30 08
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Vous êtes aussi invités à la cérémonie commémorative de la victoire de Ballon, dimanche 13 mai à 11 h à la statue de Nominoë.
■Et quand je vois que vous, apb, ne vous insurgez pas contre un aussi honteux travail de sappe, que, pire, vous éditez leur annonce, je me dis que,
soit vous êtes ignorants de l'Histoire de votre propre Pays, ce qui me paraîtrait vraiement pitoyable
soit vous n'êtes pas le média indépendant que vous prétendez, et vous êtes, vous aussi, à la botte de l'afp, notre bon maître, ce qui me paraîtrait encore plus minable ...
Argad !
Un service servile à la carte, inodore, sans saveur ?
Et surtout amputé de tout ce que les citoyens devraient savoir, lire, discuter, amener à la conscience de leurs concitoyens/patriotes, et aussi réfuter, condamner éventuellement?... Mais passer tout cela au crible de la critique, des convictions et des compétences, de l’analyse quelque soit le niveau que ce soit de pertinence ou de justesse des commentateurs! C’est ça notre/votre boulot de lecteurs, militants et/ou commentateurs, et c’est une possibilité que nous/vous donne l’ABP de vous adresser aux producteurs d’articles en respectant certaines normes ! Et non de vous tourner vers l’Agence Bretonne de Presse, et lui faire des procès d’intention, ou déverser votre bile au mauvais endroit.
Comme d’hab, un grand nombre de Bretons ( ?) se trompe de cibles, des actes manqués ? Ou de faux amis ? Les résultats tous azimuts en BRETAGNE, parlent d’eux-mêmes !
Alors Étienne Le Petit vous avez la parole, le clavier et la page blanche ! Alors, écrivez-leur !!! À ceux qui tronquent l’information volontairement ou non…
Je suis en effet convaincu qu'une presse «indépendante» se doit d'être, aussi, un lieu de résistance. Résister face au mensonge (ou à l'omission de la vérité) me paraît même salvateur. D'autant plus dans un pays ou l'information en général est un organe d'Etat (souvenez-vous de la naissance de l'afp, de son rôle , ...).
Il s'agit donc, au delà de l'information, d'apporter une analyse. ABP laisse généralement le soin à ses lecteurs de le faire par leurs commentaires, et ça me semble être le plus démocratique possible.
Trier l'information ? Evidemment!! Même si les critères sont effectivement difficiles à mettre en place.
A la limite (il est parfois bon de raisonner aux limites, même si bien sûr l'humain n'est pas une science), qu'auriez-vous pensé d'un média vichyste éditant un article contenant sa propagande, et d'un autre qui accepterait, non seulement de ne pas proposer une «contre-propagande», mais de relayer la propagande du premier ...
Je vous vois déjà venir en hurlant : «de pire en pire, les comparaisons débiles, ...». Mais je dis bien que cette image est une réflexion limite : toutes proportions gardées, le principe du média ultra-majoritaire est bien le même dans nôtre cas.
La question, Monsieur Créton, n'est donc pas de déverser sa «bile», mais plutôt de s'en faire : l'article est resté en place deux mois sans un seul commentaire et je trouve ça inquiétant.
Inquiétant de la part de l'abp, qui était, pour le moins, en droit, tant qu'à parler de l'opus incriminé, d'en proposer, comme elle le fait le plus souvent, une «critique», objective autant que possible, et même si ce n'est pas une affaire simple.
Plus inquiétant encore de la part de Skol Vreizh, en qui j'ai toujours eu confiance, jusqu'à présent.
Très inquiétant aussi de la part des bretons en général, qui ne se posent visiblement pas même les questions de bon sens concernant cet opus (sans être passionné d'hisoire, on se demande, normalement, si notre Pays a diparu de la surface du globe entre Alain Barbetorte et la guerre de succession ..)
Et très, très inquiétant aussi de votre part, Monsieur Créton, qui choisissez délibéremment de répondre à mon commentaire en choisissant d'en ignorer le fondement, à savoir l'article sus-cité.
Et qui, ouzhpenn, essayez de me/nous faire croire qu'il n'y a pas de faux amis en Bretagne (si tant que ce soit là le sens de votre avant-dernier paragraphe ....
Et qui, gwazhoc'h c'hoazh, me/nous parlez de «résultats tous azimuts en Bretagne», expression bien obscure, qui ne cache pas, j'espère, un consensus supposé concernant le chef-d'oeuvre précité!
Si tel est le cas, avouez-le sans détour, et commencez à me/nous parler d'Histoire de la Bretagne. Il sera bien plus intéressant de voir si vous avez seulement regardé, même de loin dans un étal, l'ouvrage en question, et quelques autres aussi, histoire de comparer les versions de chacun avant de parler de «compétance», de «justesse» ou de «pertinence» ...
Stefan Bian (...)
Au-delà du petit jeu de traduction, un peu puéril, sur votre « identifiant » que vous me dites être votre nom réel, et je n’ai pas de raison d’en douter malgré l’imagination débordante qui règne sur ABP en la matière…j'ai réagi uniquement sur votre intervention à l’encontre de ce média bien utile et ouvert, en Bretagne.
Je partage avec vous le fait qu’ABP pourrait s’impliquer davantage dans la critique de divers articles. Je pense que Philippe Argouarch doit avoir ses raisons, journalistiques, matérielles et humaines pour que cela ne se fasse pas de temps en temps. Mais personnellement l’appropriation par les lecteurs/commentateurs de la critique, des rectifications éventuelles me paraît excellente, intéressante. À titre personnel j’en apprends beaucoup ici, de cette manière…
Quant à l’article ci-dessus et incriminé, il n’a de justification d’être mis en cause_ avec ses émetteurs_ que par le contenu qui n’est pas ici développé, mais que vous connaissez à l’évidence pour avoir _sans doute_ participé à, et suivi, la réunion qu’il programmait.Pas moi!
Vous pensez peut-être qu’ABP, devait impérativement s’informer et contrôler le contenu, avant de mettre en ligne cet article si anodin, d’information à cette réunion ?
Je suppose que dans les archive d’ABP il doit y avoir de plus vieux articles que celui-ci que vous avez « exhumez », je ne pense pas non plus, que votre critique négative sur la question soit justifiée…
Quant à l’Histoire de Bretagne, j’ai effectivement le plaisir de vous dire que j’ai aperçu quelques ouvrages sur des étals par ci… par là…J’ai même osé laisser défiler les pages, rapidement entre mes doigts…
Vous évoquez là un problème que toute agence de presse rencontre. Faut-il systématiquement (en admettant bien sûr que les gestionnaires de l'ABP aient le temps) «surveiller» les différents communiqués de presse que l'ABP reçoit de façon à ne sélectionner ceux qui lui paraissent être dans sa ligne directrice ou que l'ABP intervienne en critiquant le communiqué de presse en question. Je ne pense pas que ce soit là son rôle, entendons-nous : d'exercer un droit de diffusion sur les communiqués qu'elle reçoit. Cela ne veut pas dire que l'ABP ou une autre association puissent intervenir à partir de différents communiqués pour écrire ultérieurement et séparément une synthèse ou un édito journalistique.
Pour moi, ce sont donc 2 choses différentes. En plus il faut savoir que l'ABP n'étant pas (encore) subventionnée, elle n'est pas dans une position où elle pourrait se permettre de sélectionner les communiqués de presse bons à diffuser ou pire de critiquer (pour peut être de bonnes raisons) sous peine d'être boycottée.
A mon avis (et là cela n'engage que moi), il vaut mieux que les différentes assocations/structures /mouvements/partis/groupes/... qui oeuvrent pour la Bretagne prennent l'habitude de diffuser leur communiqué sur l'ABP même si certains peuvent prêter à interprétation.
D'autant plus que si cela peut permette à des bretons non sensibilisés à la «cause bretonne» de se poser des questions et provoquer le déclic pour qu'ils se sentent d'abord Breton, alors pourquoi pas (même si je suis d'accord avec vous sur les impasses qui ont pu être faites sur ces CDs ou livres - c'est mieux que rien!)
Le problème est donc, moins les impasses «quantifiables» (comme : «trois siècles et demi d'histoire»), que le choix unipôlaire des auteurs de l'opus incriminé.
Mon interprétation (personnelle par définition) de l'Histoire de notre Pays est pratiquement opposée à celle décrite par cet ouvrage.
La liste des choix que je conteste est - vraiement - très longue. L'esprit principal de cette liste peut en revanche tenir en quelques mots :
l'esprit unitaire de la Bretagne est éludé (voire caché), c'est d'autant plus dommage que notre Pays est le plus stable de l'Histoire européenne, tant sur le plan des frontières que sur celui de l'esprit, du sens quasi-viscéral d'appartenance dont nous sommes héritiers, parce qu'il a traversé 12 siècles sans jamais être totalement vaincu, par quelque colon ou envahisseur que ce soit.
les luttes réelles, systématiques, parfois «leadées», parfois juste populaires et unanimes, sont aussi autant de preuves, qu'il aurait été intéressant de rapporter (mais quand on «zappe» la période de la «règle anglaise», on zappe aussi les huit révoltes populaires unanimes contre ce nouvel envahisseur, et son départ de ce pays que seul un duc de Bretagne, reconnu comme tel par les bretons, pouvait diriger ...)
enfin c'est l'esprit de justice loyale, là aussi, typiquement breton, qui conduit à la durabilité remarquable des Etats (une belle preuve de politique locale et décentralisée dont le peuple breton pourrait s'inspirer pour répondre aux pénibles qui leur disent : «la réunification ? d'accord, mais alors Rennes ou Nantes ?») et du Parlement. Là encore, le choix de passer sous silence le rôle de la Chalotais, et de cette résistance non-violente et pourtant portée fièrement, jusqu'au bout, et dans la lignée des très nombreux autres «héros ordinaires» qui ont fait notre Histoire, ce choix est vraiement très, très navrant.
En résumé, cet opus est consternant, car il enterrine chez les lecteurs/auditeurs un sentiment déjà très encombrant : celui d'appartenir à une région sous tutelle parisienne depuis toujours.
Mon opinion est exactement inverse : nous n'appartenons pas, mais nous sommes, pas une région, mais un vrai Pays, qui n'a pas toujours été sous tutelle, et qui, même s'il le fait lentement et sans éclat, avec le temps de la réflexion, est toujours en ébulition : le XXè siècle (bien qu'a peine survolé par nos compères ...) nous montre encore de nombreuses preuves de résistance, et aussi le XXIè, que nous ne laisseront pas filer comme ça, bien que là aussi nos braves Skol Vreizh-iens n'envisagent visiblement pas de luttes ni présentes, ni à venir, puisque nous vivons une «régionnalisation consensuelle» et que nos langues sont maintenant «mieux reconnues» (par notre bon maître, maintenant qu'elles sont moribondes).
Non, décidemment, nous ne vivons pas dans le même Pays !!!
Un des auteurs m'a écrit ceci à propos de votre récidive dans l'attaque :
Oui, c'est navrant, parce que ça ne correspond pas à la réalité. C'est de l'idéologie pure, si l'on peut dire. Rien de régionaliste dans notre survol.
Je ne sais pas si c'est le même qui nous reprochait de ne pas avoir parlé de Pierre Landais...
Eh bien oui, c'est le même, je le vois ici !
C'est pourquoi j'interviens en tant que correspondante ABP.
Et je pense de plus en plus que ABP n'est pas un site pour vous. Allez donc vous soulager sur des blogs de culture bretonne, il n'en manque pas.
Quant à ABP elle fait ce qu'elle peut avec uniquement des bénévoles. Son rôle est surtout de transmettre des informations. Surtout celles que les journaux français en Bretagne ne donneront pas. A chacun de juger ensuite, mais en bonne connaissance de cause.
Inutile de polémiquer plus avant, je ne vous répondrai pas.