François Goulard et le Morbihan s’engagent pour la Réunification
Le numéro 32 du Morbihan Magazine, revue du Conseil général, s'ouvre par un éditorial du président du Conseil général François Goulard qui fait chaud au cœur des habitants de Loire-Atlantique.
L'engagement du Morbihan en faveur de la Réunification administrative voté en décembre 2011 (voir notre article) est confirmé par le président du conseil Général, qui motive son engagement en insistant sur les atouts économiques de la Réunification, qui « sera une formidable source de croissance ». Il souligne la présence en Loire-Atlantique du port de référence de la Bretagne, Saint-Nazaire, ou du futur aéroport de Notre-Dame des Landes.
François Goulard n'oublie pas l'aspect historique « notre histoire, notre identité et notre culture vivent des deux côtés des frontières administratives » et souligne l'importance du regroupement des institutions, notamment universitaires, de l'ensemble de la Bretagne historique, « pour exister dans le paysage mondial »
Enfin, il remercie « ceux qui tous les jours font vivre notre culture, notre identité, notre solidarité et notre économie bretonne ». Parce que « La Bretagne, région multi-séculaire est une idée d'avenir ».
■Une seule question
Où est l'erreur de casting entre Le Drian et Goulard?
L'un est porté par l'assaut socialiste et est soumis à la ligne de conduite du PS depuis sa première allégeance et ne déviera pas des ordres de parti.
L'autre est, je pense plus breton que le premier,dans l'analyse des grandes nécessités pour la Bretagne.
l'un a raté d'être l'homme de la Bretagne,le deuxième pourrait se draper dans les plis du drapeau breton réunifié.
L'un ne sait qu'obéir à ses chefs,l'autre a été toujours constant pour la réunification et dans ses propos
L'un est homme de rêve ( à vendre),l'autre de concret
( n'oublions pas qu'il a osé contredire sa hhiérarchie),je dis et répète ,voilà la «tête» qu'il manque bien sur parfaitement épaulée par toute une pensée bretonne(apolitique)
L'un est dans la nasse «ayrault»,l'autre est hors des basses contingences parisiennes et des luttes intestines de parti.
Cher Monsieur , je raisonne en pur analyste d'un challenge.
Il y a un contrat à mettre en place entre les bretons et ses élites pour un seul but!
Ne dit-on pas «the right man in the right place»