Un succès sans précédent de la Fête de la Bretagne à Paris

Dépêche publié le 23/05/11 9:34 dans La diaspora par Philippe Chain pour Philippe Chain

La semaine de la fête de la Bretagne à Paris s'est achevée hier soir à la Mairie du XVe où 10.000 personnes sont venues sur les deux journées assister au défilé, aux concerts, et à la rencontre des créateurs et producteurs.

Cette fête qui avait commencé avec une avant première à la Maire du 16ème arrondissement avec un salon des auteurs bretons s'est ensuite poursuivie avec un concert de musique sacrée à Saint Sulpice, puis un show case de Cécile Corbel à la maison de la Bretagne, l'opéra rock Anne de Bretagne au casino de Paris, la présentation du Festival Interceltique de Lorient au Batofar avec le Bagad de Lann Bihoué et Hévia, une «Crep'Noz» à Montparnasse, une fête dans le XIVe suivie d'un fest noz, et les deux journées dans le quinzième arrondissement.

Plusieurs autres évènements, concerts, récital ont également jalonné cette semaine.

Oui Paris est réellement le 6e département Breton et la première ville des Bretons cette semaine marquée par tous ces événements en est l'illustration la musique bretonne a résonné un peu partout dans la capitale les produits bretons ont aussi été dégustés dans ces multiples lieux.

L'association Paris Breton est fière d'avoir été à l'origine de la majeure partie de ces manifestation avec le concours de ses partenaires, la Région Bretagne, la mairie du XVe arrondissement principalement mais aussi la mairie du XVIe, la maison de la Bretagne, le Festival Interceltique de Lorient, EasyJet, Armorlux (qui poursuit la fête en proposant aux 10.000 personnes qui ont conservé le programme des réductions sur ses produits dans les 3 boutiques parisiennes) et tous les exposants présents lors des deux journées dans le XVe.

Nous remercions tous les artistes, près de 200, musiciens, chanteurs, danseurs, dessinateur, peintres, créateurs, qui ont permis de donner à ces journées l'image de la vitalité culturelle de la Bretagne et le sens de la fête partagée, et tous ceux qui nous aidé à rendre possible ces évènements, les bénévoles, les commerces de Bretagne, les commerces de proximité qui ont également soutenu cette fête, la Maison de la Bretagne, parcs et jardins de la ville de Paris, élus et services des mairies avec une mention spéciale pour l'appui très apprécié des agents du commissariat du 15ème.

Le reportage photo de ces évèénements sera prochainement disponible sur le site Paris Breton.


Vos commentaires :
Ewen Legoff
Vendredi 22 novembre 2024
Bizarre ce communiqué, j'ai assisté à toutes ces festivités et je trouve vraiment que ce communqiué ressemble à une tentative de récupération du travail des différentes associations.

Le soit disant fest noz organisé dans le 16ème par Paris Breton, franchement c'était nul, un seul groupe, que des parisiens qui venaient assister au buffet gratuit, sans les 30 danseurs de la Mission Bretonne ça aurait été une catastrophe.

La crep Noz, c'était super, une rue transformée en rue piétonne pour les terrases des crêperies, 3 groupes de qualité qui se relaient, des danses, et une foule qui dansait, c'était vraiment bien, par contre c'était la Mission Bretonne et pas Paris Breton.

Les deux jours dans le 15ème, ouai pourquoi vous ne citez pas le 14ème organisé par la Mission Bretonne, j'ai navigué entre les deux, le 15ème c'était des stands et encore des stands, et le 14ème on a dansé toute la journée, + un énorme fest noz le soir avec des bons groupes. Le 15 ème le dimanche je suis resté moins d'1h tellement je m'ennuyais.


Franchement, on a l'impression que Paris Breton essaye de récupérer (ou occulter) tout le travail de la Mission Bretonne, c'est vraiment gros et navrant, et ça m'étonnerai que la Mission Bretonne apprécie l'attaque.


Vivien Petit
Vendredi 22 novembre 2024
Ca rime à quoi franchement ce genre d'article, parler de la Saint Yves à Paris sans citer une seule fois la Mission Breton ça fait vraiment récupération puérile.

En plus balancer ça sur un média breton c'est vraiment ridicule, les Bretons de Paris qui lisent ce média savent très bien que la Mission Bretonne a organisé les événements les plus vivants (Crêp Noz, Fest Deiz et Fest Noz du 21 mai...).


Marie Demetz
Vendredi 22 novembre 2024
En effet, cela ressemble plus à de la propagande qu'à un réel communiqué de presse.

Il suffit de regarder la source de l'article. Navrant.


Philippe Chain
Vendredi 22 novembre 2024
Ewen, Vivien, Marie je ne comprends pas très bien vos réactions, certes je n'ai pas cité la Mission Bretonne qui comme chacun sait assure un rôle important depuis de longues années à Paris. Mais je n'ai pas cité non plus, et les artistes, individuels ù associatifs sans qui ces fêtes seraient inexistantes.

A cet égard pour Paris Breton tous les artistes participants aux manifestations ont été cités sur le site et dans les programmes diffusés.
Curieux également ce coté négatif ou l'on parle avec enthousiasme d'un endroit et de façon méprisante de l'autre alors que les artistes intervenants étaient les mêmes.
Curieux aussi de passer à côté de l'essentiel, la multiplication des manifestations à Paris et dans la région Ile de France.
Etonnant enfin de considérer ce papier comme une attaque envers la Mission Bretonne, alors qu'il ne cite que des faits.
Mais comme on dit la parole est libre et chacun doit s'exprimer, à condition de respecter une certaine objectivité.


Jean Landais
Vendredi 22 novembre 2024
Bon et puis , c'est gonflant cette histoire de «Paris, 6ème département breton» .... Et New York, le 7ème ? Il faudrait peut-être redescendre sur terre ! Il y a la Bretagne d'un côté, et la diaspora de l'autre ..... Ça ne sert à rien de raconter des fadaises du genre «Paris la plus grande ville bretonne !» ... c'est totalement folklorique, ça fait plaisir à certains et c'est complètement contre-productif . Il y na une diaspora bretonne importante notamment en France mais aussi en Grande-Bretagne, aux USA, au Canada, en Australie, en Asie,bref à travers le monde , Paris et sa région ne sont qu'un lieu parmi d'autres de la diaspora . alors arrêtons de fantasmer sur des réalités qui datent plus du XIXème siècle que que du XXIème siècle .

Anna Lisig Launay
Vendredi 22 novembre 2024
lol, on rêve, Paris Breton s'attribue tous les mérites de la saint yves à Paris et se félicite d'avoir organisé la majeure partie des événements, et vient ensuite pleurer à la soit disant incompréhension. Nan mais faut arrêter la mauvaise foi, ça pue la récupération à plein nez. Un article honnête aurait cité la Mission Bretonne, alors que là Paris Breton fait comme si la Mission n'existait pas.

Quand à Philippe, si vous parlez de négatif/positif à propos du fest noz à la mairie du 16ème et de la crêp noz, franchement on se demande si vous y étiez, ou alors c'est inquiétant. Un seul groupe pour tout un fest noz, que des parisiens qui ne savent pas danser, et vous osez comparer à un fest noz avec une centaine de danseurs, trois groupes, etc

J'apprécie Paris Breton pour son annuaire annuel, mais là ce genre de récupération ça craint...


TILLENON Yann-Ber
Vendredi 22 novembre 2024
Petra eo al luskadoù folklorel-se a zalc’h ar Vretoned e-maez a bep politikerezh ? Ar re noazusañ, kresket evel kebell-touseg flaerius war leur ar vougev, zo hep mar ar strolladoù Bretoned bodet dindan ur skritell vrezhon ha n’int ket bet gouest goude tri ugent vloaz da dermenañ ur gelennadurezh, da sevel ur program na da ren un obererezh a nep seurt.

O mennadoù armerzhel ha kevredigezhel koumoulek, dezho dassonioù politikel dibal, zo deuet a-benn da douellañ un darn eus yaouankiz ar vro, a yae dezho « peogwir ne oa netra a-hend-all » ; ha pave en abeg hepken d’an diheñcherezh-se e
rankomp o diskouez evel noazus.

Ken noazus-all eo ar c’hostezennoù gall a zeu da duta e Breizh evel ma tutaent gwezhall en Aljeria betek ma voent skubet gant an dispac’h. Klask a reont tennañ o mad eus enkadenn Vreizh er mare-mañ ha se e sell d’ur politikerezh a-enep ar galloud gall hepmuiken.


Philippe Chain
Vendredi 22 novembre 2024
Ces commentaires sont intéressants car ils ouvrent un débat. Je parle ici en mon propre et pas pour Paris Breton.

Si l'on parle de 6ème département breton, ce n'est pas un mythe, une étude a été réalisée il y quelques années pour évaluer la présence bretonne à Paris d'où il ressortait que la région Ile de France abritait environ 900 000 personnes d'origine bretonne. Cela avait été arrondi à 1 million de personnes en intégrant les «bretons de cœur»

Il existe en région parisienne plus d'une centaine d'associations et de formations musicales, il existe par ailleurs des implantations particulières de la Bretagne, la maison de la Bretagne, l'antenne des côtes d'Armor, le foyer social Breton, les résidences d'Ille et vilaine, et de très nombreux commerces dans tous les domaines.

L’appellation 6ème département ne correspond pas bien évidemment à une quelconque revendication mais se veut souligner l'importance toujours actuelle de la Bretagne et des Bretons à Paris.

La notion même de diaspora évolue, ainsi un nombre très important de Bretons effectuent des aller-retour permanent entre la Bretagne, sur leur lieux de résidence, et la région parisienne leur lieu de travail où d'étude. Ce qui vient modifier la notion même de diaspora.

C'est une des raisons pour laquelle il reste très peu d'associations d'étudiants bretons sur Paris, la seule que je connaisse est celle de Sciences Po de la rue Saint Guillaume.

Quant à nos amis danseurs, la culture bretonne ne se limite pas à la musique et la danse, et la forme de repli sur soit qui distingue ceux qui savent danser et ceux qui tout simplement souhaitent participer à une fête me semble particulièrement navrante. Chacun aborde la Bretagne comme il l'entend.
Pour replacer quelques faits encore, à la Mairie du 16ème il s'agissait de la première manifestation bretonne réalisée dans cet arrondissement, avec deux tropismes la littérature bretonne, et une soirée dansante. Ce n'était donc pas effectivement un fest noz et cela n'a jamais été présenté comme tel.

La crep'noz a effectivement été un gros succès, et le Fest noz de la mission également mais pourquoi négliger tout ce qui n'est pas danse?
On en revient à qu'est-ce que la culture bretonne, et pourquoi organise-t-on des évènements?


Ewen Legoff
Vendredi 22 novembre 2024
Ah replis sur soi, le mot est lâché, c'est bien connu la danse bretonne est un repli sur soi où ceux qui ne savent pas danser sont viollement rejetés, un peu de sérieux svp et évitez de tomber dans ces bassesses.

N'essayez pas de changer de sujet. Vous savez citer et remercier la maison de la Bretagne, la région Bretagne, les artistes, etc, mais pas un seul moment un des acteurs majeurs qu'est la Mission Bretonne. C'est une récupration point barre, vos débats sur qu'est ce que la culture bretonne n'ont rien à voir.


Luigi ar Coz
Vendredi 22 novembre 2024
J'étais tout à fait d'accord avec un élément de la première réponse de Philippe Chain à des commentaires quelque peu agressifs : «l'essentiel, la multiplication des manifestations à Paris et dans la région Ile de France».
Nous ne devons pas regretter effectivement qu'il y ait deux fêtes bretonnes différentes à Paris, l'une plutôt pour la Saint-Yves et l'autre plutôt un peu plus pour les marchands du temple, mais nous devons bien regretter qu'il n'y en ait encore que deux, il faut espérer que les initiatives vont vite se démultiplier.
Botter ensuite en touche en espérant que l’écran de fumée d’un pseudo débat sur « Ile-de-France 6ème département ou pas » aidera à masquer la réalité, ce n’est pas très élégant. Mais bien pardonnable venant de la part d’un fervent des méthodes de la politique et du commerce.
Mais ce que les méthodes de la politique ont de plus crasseux se révèle avec l’évocation du repli sur soi (et non «soit», attention à l'orthographe Philippe !) alors que l'on semble soi-même ne rêver que d’être dans les plis de la soie.
Je trouve ça gonflé !
A la très bonne question de Philippe Chain « On en revient à qu'est-ce que la culture bretonne, et pourquoi organise-t-on des évènements? » on peut déjà répondre qu’il ferait mieux de ne pas recourir aux évocations d’un imaginaire « repli sur soi », laissons au Front National le mauvais score qu’il fait au Bro-gozh, et ne lui faisons pas le cadeau d’évocations puantes !
Bon, pour sortir de tout ce baratin je propose aux lecteurs d’aller voir à l’adresse ci-après quelques images du « repli sur soi » assumé dans la bonne humeur :
Voir le site

Ewen Legoff
Vendredi 22 novembre 2024
Personne ne regrette le fait qu'il y ai de plus en plus d'événements, au contraire. Par contre justement cette multitude d'événements est le fait d'autant d'associations et d'acteurs différents.

Le reproche initial concerne le fait de la récupération par Paris Breton de tous ces événements, comme si seul Paris Breton travaillait à organiser la Saint Yves, et vu les partenaires cités, et les événements cités, on comprend rapidement que Paris breton veut occulter la Mission Bretonne.

Et après, alors là oui c'est le pompom, Philippe Chain qui essaye de noyer le poisson avec un hors sujet sur la culture bretonne, et le pire cette accusation de repli sur soi digne de ceux qui veulent exterminer notre culture.


Philippe Chain
Vendredi 22 novembre 2024
Allez, une dernière réponse pour clore, pour ma part, ce débat ou chacun réagit selon ses tropismes.

J'approuve dans l'ensemble les remarques de «Luigi» même si son humour dérape un peu.

Mon allusion sur le repli sur soi ne visait que la personne qui semble jauger une manifestation à la seule aulne de la danse , de ceux qui savent et de ceux qui ne savent pas danser.

Je ne pensais pas particulièrement au front national ( qui a également progressé dans les votes en Bretagne) mais une attitude de plus en plus individualiste, et une volonté de certains heureusement peu nombreux de vouloir faire la fête entre soi, dans certains lieux et pas ailleurs.
.
Pour «fervent des méthodes de la politique et du commerce», j'assume, mais je revendique également la culture. Et cette fois dans son ensemble musique danse, littérature, arts plastiques dessins, photographie, cinéma, qu’elle soit traditionnelle ou pas!

Pour le reste créer, produire, échanger et vendre me semblent des actions indissociables lorsque l'on veut promouvoir la Bretagne, et dépasser son plaisir individuel.

Aussi, parler des «marchands du temple» constitue un autre dérapage, Pour la manifestation du 15ème, il s'agissait de producteurs venus directement de Bretagne, de jeunes créateurs qui bénéficiaient ainsi d'une vitrine, du Festival Interceltique, de Diwan, de représentants de Bretagne Réunie, et d'autres associations, de peintres de dessinateurs (Trégastel et Saint Malo). et de partenaires en lien direct avec la Bretagne.

Par ailleurs Je ne pense pas la fête «de la Saint Yves» dans le quatorzième soit une fête religieuse et celle du 15ème, sous la bannière de la Fête de la Bretagne celle de marchands du temple, merci pour les artistes, chanteurs, bagad, cercles groupes musicaux !!! Et quitte à me répéter encore une fois : souvent les mêmes.

«ne rêver que d'être dans les plis de la soie» est certes une belle formule mais quelque peu insultante, la plume dérape parfois.

Pour conclure chaque association à sa personnalité, et elle réalise les évènements selon la forme qu'elle préfère, chaque association à le droit au respect pour l'investissement de ses membres et amis dans la préparation de ces évènements.
Enfin il n'existe pas d'opposition entre l'action de la Mission Bretonne et celle de Paris Breton, mais une complémentarité, ensuite chacun gère comme il l'entend sa communication et son relationnel.

Donc,après ces mises au point,, je vous propose de revenir à une certaine objectivité, si possible, et de ne retenir que le succès sans précédent, depuis les années 70 pour la fête de la Bretagne à Paris, et selon mes informations un égal succès en Bretagne et je vous confirme la volonté permanente de Paris Breton d'innover et de toucher un public de plus en plus large ( même ceux qui ne savent pas danser) en s'en donnant les moyens.


Ewen Legoff
Vendredi 22 novembre 2024
Philippe, commencez par appliquer l'honnêteté à vous même, vous persistez en changeant les termes à lancer des accusations de repli sur soi contre ceux qui vous ont juste dis que le Fest noz dans le 16ème était nul, personne n'a dis que ce n'était pas culturel breton, juste que l'on était loin d'une grande réussite. Appeller ça une soirée dansante si vous préférez, voir une fête de nuit pour jouer sur les mots, et bien une soirée dansante on danse justement, n'est pas la définition ? Les critiques sur ce que vous organisez sont interdites c'est cela qu'il faut comprendre ?

Vous avez organisé une soirée dansante dans le 16ème, très bien, maintenant 95% des gens mangeaientt à table et excusez que mon sectarisme me fasse penser que cela n'ai pas grand chose de spécifiquement breton, surtout quand les serveurs nous gratifiaient de réflexions plus que douteuses sur la Bretagne.

Maintenant si vos partenaires économiques étaient content, grand bien vous fasse, mais ne venez pas vous vantez d'être le fer de lance de la culture bretonne à Paris.

Ayez un peu de modestie et de respect envers les autres acteurs culturels bretons, car le problème reste là, vous citez les réussites d'événements sans en citer leurs organisateurs et en sous entendant que vous en êtes à l'origine.


Michel Prigent
Vendredi 22 novembre 2024
Eh, dîtes-donc les bretons de Paris ou d'ailleurs, vous avez fini de vous engueuler en jouant les «abstracteurs de quintessence» !
On se croirait sur un blog du Nouvel'Obs, Figaro ou autre journal national traitant des frasques sexuelles de DSK...des discours à n'en plus finir !
Vous feriez mieux de distribuer les tracts et coller les affiches proposées par les assos bretonnes en vue de la Manif nantaise du 18 juin.
Parcequ'ici, à bretagne Réunie de Nantes, le boulot de manque pas sur le terrain.
Décidemment, la propension au discours et à la querelle, spécialité française a contaminé les bretons, par contre, dans l'action concrète, les volontaires se font rares...Sans doute une conséquence de la phobie de nos citoyens pour le travail manuel ?
Un poignée de tracts, un seau de colle et un rouleau...c'est quand même pas compliqué....En plus on prend l'air et surtout la nuit, c'est une ballade.

Jean Landais
Vendredi 22 novembre 2024
Bravo à Michel Prigent ! juste un détail , utilisons le mot «national» pour la Bretagne et hexagonal pour la France...ce sera plus clair !

loic mahe
Vendredi 22 novembre 2024
Suis d'accord avec Ewen dans le 16e c'était nul. Mais j'imagine que le maire a su se montrer généreux avec vous. Y avait une foule de pique-assiettes qui ne devaient pas avoir mangés depuis des jours. Pas très chics pour des prétendus rupins !

Tout cela sentait la récup non?


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