Louise Bourgoin, la bombe bretonne
Miss Météo drôle et sexy, Louise Bourgoin faisait la pluie et le beau temps sur Canal+. Elle rayonne désormais dans le cinéma. Déjà à l'affiche de deux films cette année, la Bretonne dévoile tous ses charmes dans "L'Autre monde" sorti le 14 juillet.
"Un jour, au cours de ma 5e année de Beaux-Arts, je me suis dis, en regardant une présentatrice à la télé : Je peux faire mieux que ça !", me racontait Louise Bourgoin il y a deux ans. "J'ai envoyé à Canal J mon CV qui a finalement plu à Filles TV." C'est l'époque où elle quitte Rennes et s'installe à Paris pour présenter en septembre 2004 "Kawaï ", l'émission phare de Filles TV. Elle rentre en septembre 2006 chez Canal+ pour présenter la météo et prend le prénom de Louise pour la télé. Elle s'appelle en réalité Ariane.
Nomination aux Césars 2009
Le septième art lui fait les yeux doux. L'été 2008, l'apprentie actrice est la vedette de "La fille de Monaco" aux côtés de Fabrice Lucchini. Ce rôle de bimbo lui vaut une nomination au César du meilleur espoir féminin. Elle campe en début d'année le rôle d'Adèle Blanc-Sec, que lui a taillé sur mesure Besson. "La fille de Monaco" (d'Anne Fontaine), "Les aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec" (de Luc Besson), "Sweet Valentine" (de Christophe Blanc) et "L'Autre Monde" (de Gilles Marchand) garnissent sa filmographie.
Glamour à la bretonne
La belle se dit "très fière d'être bretonne". Né à Rennes, il y a 28 ans, elle retourne d'ailleurs très souvent en Bretagne pour voir ses parents ou se relaxer à Porspoder, dans la maison d'un ami. "L'Autre Monde" ne restera pas le plus grand film de Louise Bourgoin qui y joue le personnage d'Audrey, femme fatale, lascive et manipulatrice. Blonde peroxydée avec un joli tatouage, bien placé... On attend donc la suite avec impatience.
“L’Autre monde” de Gilles Marchand, avec Louise Bourgoin, Grégoire Leprince-Ringuet et Melvil Poupaud – France, 1h44 – Sortie mercredi 14 juillet.
■Je ne sais pas si c'est du à Louise, mais nous voilà, vétérans de la «ronchon connection», attendris voire «liquéfiés» comme des collégiens tremblants devant une midinette.
Tant et si bien que je me surprends à user du «Cher Léon-Paul» moi qui n'a pas été habitué aux épanchements affectueux dans ma jeunesse.
Il est vrai que notre époque, jusqu'au années 70, nous a offert des conditions de vie semblables aux années d'avant-guerre, c'est à dire rudes, sans confort, mais sans artifiques chimiques notamment dans le domaine nutritionnel, ce qui nous vaut sans doute une bonne constitution malgré nos «grands âges» nonobstant quelques raideurs dans les articulations.
Je vous souhaite une espérance de vie aussi longue que celle de mes 2 grands-pères (90 et 91 ans) toujours en forme et actifs mais surtout sobres et sérieux, plus que moi !
Je ne me risquerais pas à terminer par une formulation en breton, bien que né à Crozon, ou alors il faudrait que je la quémande auprès de mon fiston Erwann, prof de breton. Je ne suis qu'un «sot-breton» quasi monolingue voire inculte.
Bon anniversaire à l'ami Pierre guère préoccupé par la réforme des retraites même à 80 ans...quelle santé !