Communiqué
Hier, jeudi 20 novembre à 18 heures, le Comité Local nantais de « Bretagne Réunie » s'est rassemblé devant l'Hôtel de région des Pays de Loire qui accueillait les participants au débat sur le développement durable.
Ainsi Bretagne Réunie souhaitait, afin d'enrichir la réflexion, leur poser les questions suivantes :
Si ces questions avaient eu un écho, le Comité Local nantais leur aurait confirmé que culture et économie sont compatibles car une région à forte identité génère des solidarités qui rassemblent des créateurs, des producteurs, des transporteurs et des distributeurs, voire des « consommateurs militants ».
Ainsi ces acteurs sont intimement liés pour assurer la pérennité d'un vrai terroir, d'une véritable identité, d'une véritable image.
Grâce à ce sentiment d'appartenance, les contribuables de la Loire-Atlantique pourraient économiser plusieurs tonnes de papiers en journaux, plaquettes, affiches, et les calicots propagandistes, d'autant plus que ceux-ci n'ont jamais fait baisser le fort pourcentage de « oui à la réunification » de la Bretagne dans les sondages.
Par conséquent, le Comité Local considère que les PdL sont incapables d'être une région durable parce que celle-ci est condamnée, pour exister, d'une part à grever son budget pour des campagnes de communication de plus en plus coûteuses et d'autre part parce qu'elle est condamnée dans le temps par les différentes conventions européennes et internationales élaborées pour la protection des droits des personnes appartenant à des minorités nationales.
(voir le site) ou blog sur la «Ligériose» pour plus d’infos.
Le secrétaire du comité local nantais, Paul Loret
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