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publié le 1/01/70 1:00 dans par pour
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Emañ ar gevredigezh Bemdez o klask testenioù tud kaset d'an talbenn (eskemmoù dre skrid gant o familh da skouer) etre 1914 ha 1918 a-benn lidañ an 11 a viz Du breizhat evel bep bloaz.

L'association Bemdez recherche des témoignages de Poilus (échanges écrits avec leurs familles par exemple) afin de leur rendre hommage comme chaque année par un 11 novembre breton.

Ar c’hard eus re varv ar c’hwec’hkorn kaset d’al lazh dre ar Frañs a oa Breizhiz. Dav eo barrañ diouer a galon an dilennidi, an dud ofisiel, ha diskennidi ar stourmerien-se, o tougen bri dezho e brezhoneg hag o toujañ da le ar stourmerion gozh deuet eus an talbenn, c’hoant ganto ma’z afe an 11 a viz du d’ur gouel diarmoù, hep lifre a-benn lidañ ar peoc’h.

Le quart des hommes qui y laissèrent la vie sous les couleurs de la France étaient Bretons. Il s’agit donc de pallier le manque de cœur ou de courage politique des élus, des officiels, des descendants des combattants, de leur rendre hommage en breton, en respectant le vœu des anciens combattants revenus du front qui voulaient un 11 novembre sans arme, sans uniforme afin de célébrer la paix.

Da heul ar brezel bras-se e voe bet divizet sevel monumantoù en enor d’ar re varv. Diwar-se e c’haller merzout pegen souezhus e oa an doare kefridiel da drugarekaat ar Vretoned endeo. Setu skouer kumun Gregam e Bro-Wened displeget e mil nav c’hant tri-warn-ugent e kannadig ar barrez :

Après la guerre, il fût décidé d’ériger des monuments commémoratifs. A partir de cela, on peut remarquer combien la manière de remercier les Bretons était déjà surprenante. Voici l’exemple de la commune de Grand-Champ dans le pays vannetais, expliqué dans le bulletin de la paroisse en 1923.

" Les habitants de la commune bretonnante de Grand-champ, près de Vannes, sont actuellement vivement émus par une décision du Maire de cette localité. Le Conseil Municipal ayant décidé d’ériger un monument à la mémoire des Bretons de la commune morts pendant la guerre, avait demandé que l’inscription fût rédigée en breton, langue maternelle de tous les habitants de la commune, y compris M. le Maire. Ce dernier s’y est opposé absolument, prétendant que " le breton est une langue dégénérée, et que cela déplairait au Préfet " Nous comprenons parfaitement l’émotion des habitants de Grand-champ qui considèrent comme un outrage fait à leurs morts l’imposition d’une langue que ceux-ci n’ont jamais ordinairement parlée, sur le monument qui doit perpétuer leur souvenir. "

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Ti ar c’hevredigezhioù / Maison des associations

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Pgz / Tél. 06 11 51 43 15


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Mardi 7 mai 2024

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