Fusion région/département
Communiqué de presse publié le 1/10/08 14:41 dans La réunification par Yves-Alain Le Goff pour Yves-Alain Le Goff
Il faudrait que tous ceux qui se battent pour la légitime et démocratique réunification de la Bretagne réagissent aux propos de Jean-François Copé et de François Fillon sur une possible fusion région/département en disant vigoureusement qu'il est hors de question que la Loire-Atlantique soit fusionnée avec la région antidémocratique des Pays de la Loire.
Ce qui rendrait presque sûrement impossible la réunification de la Bretagne et en plus faciliterait la création d'un Grand-Ouest dont on ne veut absolument pas, mais, qu'au contraire, cette réforme c'est la possibilité de fusionner les 5 départements bretons avec une véritable région Bretagne conformément au souhait de la majorité des Bretons.
Si cette réforme voit le jour on sera à un tournant crucial dans le bon ou le mauvais sens pour la réunification de la Bretagne.
À nous tous de bien négocier impérativement ce possible virage.
(voir le site) Le Monde.
(voir le site) : Challenges.
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Vos commentaires :
PRIGENT Michel
Jeudi 26 décembre 2024
Vu les blocages irréductibles du pouvoir central et du «pro-consul» Auxiette, j'en viens à me demander si la solution «Grand Ouest» = B4 + PdL, n'est pas la moins mauvaise. De facto, la Bretagne se trouverait réunifiée dans un grand territoire (celui de Nominoé !), au risque même de se faire accuser de «Pan-Bretonisme» tant son poids serait considérable dans cette nouvelle «région». Il ne resterait plus pour la Bretagne Historique qu'à demander un statut particulier pour sa culture et ses langues tout au moins. Quant à la dissolution des départements, sur le plan organisation du territoire, elle s'avère indispensable pour simplifier notre «usine à gaz» administrative. Pour ma part, je verrais bien: - Moins de Régions, mais respect des «frontières» historiques.(15 ou16). - Suppression des départements remplacés par les «Pays». - Maintien des communautés urbaines ou de Communes, lesquelles passeraient de 37 000 (!) à 4 ou 5 000. Ne subsisteraient que des Mairies annexes d'agglomération ou des communes réduitent aux missions d'état Civil, de suveillance technique,sociale, scolaire, culturelles...sortes de services déconcentrés.